Google, par le biais de son responsable antispam Matt Cutts, dit privilégier les « contenus de qualité » dans ses résultats de recherche. Problème : comment peut-on rendre compte de manière algorithmique d’un élément aussi subjectif ?
Voyage, Loisirs, Restos, Cinéma, Bricolage, Argent, Décoration, Cuisine, Auto, Santé, Homme, Actualités, High-tech, Entreprise, Dictionnaire, de Spike Jonze, les systèmes d’exploitation sont tellement développés qu’ils sont capables d’émotions, d’empathie pour les êtres humains ou d’appréciation envers les œuvres d’art, y compris littéraires.
Or, pour le moment, les systèmes d’exploitation et autres moteurs de recherche, aussi perfectionnés soient-ils, ne sont pas programmés pour s’émouvoir devant le style d’un bloggeur ou la plume d’un Jean d’Ormesson du web.
Émotions mises de côté, Google dit pourtant reconnaître et privilégier grâce à son algorithme les « contenus de qualité ». Alors, peut-on croire que des robots sont déjà capables de mathématiser en algorithme des éléments aussi subjectifs ? Passage au crible des principaux critères de référencement de la firme de Moutain View.
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